Jean n'a pas un « vrai boulot ». Il aide des personnes handicapées. Enfin... c'est sa mère qui dit que ce n'est pas un vrai boulot... Mais Jean, lui, veut être avec ces vacanciers, ceux qui étaient dit « normaux » et qui, suite à un traumatisme, ont sombré dans l'alcool, dans la folie, dans leur solitude. Jean fait de plus en plus de crises d'angoisse, l'avion l'obsède. Il a peur lui aussi de devenir, un jour, l'un de ces vacanciers en bout de course.